30 mai 2009
Les (petits) frères d'armes
Menés par le frère Mathéus.
(figurines Rackham et Citadelle)
17 oct. 2008
Soyons francs
Une première. Bon, pour une première, c'est pas du grand art, mais sur la table, ça passe.
Il s'agit de figurines Essex. Pour le moment, j'ai neuf lanciers francs, une douzaine d'épéistes normands et quatre cavaliers légers (francs je crois). Je commencerais à les jouer pour HOTT, en tant que Lances, Lames et Cavaliers, mais peut-être à DBA quand je m'y mettrais.
Quelques photos :
15 sept. 2008
Des rivières, enfin !
C'est grace à l'idée et la methode de Chien sauvage que je dois cette première réalisation, et d'autres suivront forcément !
http://bobouest.canalblog.com/ (son blog)
Petite dédicace donc, même si le titre ne contient aucun jeu de mot foireux !
Voilà ma première section de rivière :
Et près d'elle, une partie de la 101em :
Alors, pour ceux qui n'ont pas suivis, sur le (superbe) blog de Chien Sauvage, il s'agit simplement de peinture, d'encre et de colle à bois surdosée. La colle reste blanche aux endroits où elle est la plus dense, l'encre dans la peinture fait le reste. Ici les bords sont du polystyrène et la base du simple carton.
[les photos s'agrandissent en cliquant dessus.]
11 sept. 2008
Alliance ?
Une partie assez fun, qui se jouait à 3000pts dans chaque camp (1500pts d'ork+1500 de marines vs 3000 Necrons). Le joueur Necron a fait de superbes erreurs combinées à une superbe malchance... Tout simplement énorme.
-Les deux Monoliths finiront détruits
-Une pleine escouade (16) de necrons et un seigneur utilisent le voile des ténèbres pour frapper en profondeur... Incident de fep : escouade détruite ! ><
-Le joueur qui comptait téléporter ses parias... Mais ce ne sont pas des Necrons ! Au final, le camp ork-SM aurait du gagner, avec deux objectifs contre un seul, mais la partie s'est arrêtée à la fin de quatrième tour (mauvais timing : on devait aller voir Metalica à 18h !)
Quelques photos pour le fun : Le flanc gauche de l'alliance... Du monde ! Et des aéroportés ! Sans compter... un Briquet (F9 Pa1)
Duel Chariot de guerre-Monolith !
10 sept. 2008
Les premiers pas des zombies
C'est déjà (presque) tout bouclé. J'ai écris une bonne partie des règles (manque des indications sur la répartition des touches, sur le déploiement et sur l'arrivée des zombies) et commence à peindre des figurines (déjà une douzaine d'américains plus une mitrailleuse). Le problème, c'est que je n'arrive pas à reproduire ce gris-bleu allemand, il faut donc que je me procure la peinture appropriée... Second problème : les décors. Au 1/72em, je n'ai strictement rien ! Je ne sais pas trop par où commencer.
Ce soir, j'ai fais deux petites parties tests.
La première :
Une petite section allemande est retranchée dans des ruines. Une douzaine de figs, dont quelques fusils mitrailleurs et une mitrailleuse. Une plus grosse section américaine est sensé prendre d'assaut la position. Les zombies, eux, arrivent d'un peu partout, des bâtiments alentours.
La deuxième :
Une section américaine (toujours la même, la peinte quoi), retranchée derrière des clôtures et des haies, défend une église contre une impressionnante invasion de zombies.
Les premières impressions : Quelle boucherie !!
Les tirs sont meurtriers, surtout si les figurines ne sont pas à couvert. Je trouve qu'on s'y perd un peu au niveau des activations, il va falloir que je trouve quelque chose pour fluidifier ou accélérer le processus. Les zombies sont réellement chiants et oppressants, surtout quand on doit s'occuper du camp d'en face tout en éliminant les zombies trop proches.
J'attends d'avoir peints plus de figurines, d'avoir quelques décors et de lancer une vraie partie test avec d'autres joueurs pour être fixé. Si ça tourne bien, j'achèterais plus de figurines et de décors, et animerais peut-être une démo quelque part.
Hop, une petite photo de marines peints (cliquez pour agrandir) :
8 sept. 2008
Eldars-Orks, première
Ci dessus les boit'kipu du SG-Ork, qui ont menés l'assaut sur le flanc gauche. Elles sont venus à bout d'une pleine unité de banshees et ont "abimé" l'Avatar de Khaine (une vraie saleté, pour a peine plus de 100pts...).
Voici les fameuses banshees (c'est l'horreur, une flopée d'attaques avec Init de 5 ou 6, toutes énergétiques, bien entendu -_-') au contact avec une bande d'orks, qui finiront d'ailleurs par fuir, se faire rattraper et donc se faire éclater jusqu'aux derniers.
Une bataille plaisante (forcément à la fin il ne restait AUCUN Eldar sur la table !) et très fun.
A retenir :
+ Les boit'kitu sont toujours aussi efficaces, et peu chères avec ça. De plus, les règles de la V5 au sujet des armes a gabarit favorise le Bazoogrot (F6 PA5 Lourde2 explosion !)
- Les banshees sont HORRIBLES. Surtout avec cette règle pourrie qui dit qu'une unité qui en rattrape une autre la détruit intégralement. Voir plus haut pour leurs atouts :D.
- L'Avatar... Vraiment, quelques bémoles (Endu 6, svg3+...) mais pour si peu de points, ouïe.
+ La course pour tous ! Maintenant les orks courent toute la partie (en utilisant le sprint) ! Et utilisent la Course (de la Waaagh!) qu'au dernier moment.
1 juil. 2008
La mort de Behaine
Le domaine était tranquille. Une légère brume l’envahissait lentement, comme précautionneusement. L’air était lourd, chargé. La lune dominait.
*
Behaine se posta à la fenêtre. D’ici, il pouvait sentir l’océan, le blé, l’odeur particulière des vents frais des hauteurs, tout le continent. Son premier continent pacifié. C’aurait du être le dernier, songea-t-il en y repensant encore une fois. Le nain sondait l’obscurité, la brume arrivait de l’ouest, elle attaquait littéralement les murs du château. Cela faisait bien longtemps qu’un brouillard ne s’était pas installé sur cette partie de Zasodhil. C’était la première fois, en fait. C’en était presque inquiétant.
*
L’humain leva le bras, la voie était libre. Six autres ombres se faufilèrent jusqu’au mur. Ils s’étalèrent jusqu’à s’aligner tous contre la paroi, et commencèrent l’ascension. Les simples saillants que formaient les pierres suffisaient pour leurs doigts exercés, et telles de grotesques araignées, ils grimpèrent encore et encore, sans interruption, jusqu’à atteindre les créneaux. Là ils redevinrent des ombres.
*
Behaine vida sa chope d’un air songeur. Cette nuit s’annonçait longue, il le savait. Sur Daifen, peu de choses arrivaient par hasard. Le destin, il n’y avait jamais vraiment cru. Mais les signes, il savait les écouter, ou du moins les remarquer.
Il se leva, passa une énième chemise propre et descendit lentement les marches menant à l’étage inférieur. Le silence régnait. Il descendit jusqu’au sous-sol et la salle de garde. Deux nains en poste le saluèrent, étonnés de le voir levé à cette heure. Il leur adressa un sourire sans chaleur et entra. A l’intérieur, la majorité des forgerons dormaient. Il resta quelques secondes à les observer. Il pensa à tous les réveiller, hurler, leur conseiller de rentrer chez eux, de cesser ce jeu stupide auquel jouaient les seigneurs de Daifen, tous plus avides les uns que les autres. Et il était bien placé pour le savoir. Behaine le Marchand, se dit-il, tu es peu de chose.
Il traversa la pièce jusqu’au présentoir et se choisit une hache de simple facture. Rien à voir avec Kal, la hache légendaire de son cousin et ami, rien à voir avec son habituel arme, parée de runes et de diamants. Un sobre manche de bois, une lame affutée. Ce serait tout pout cette nuit.
*
La sentinelle se pencha par-dessus le mur. Tout était calme, le mur accusait réception de cette enivrante brume. On ne voyait pas le sol, en contrebas. La sentinelle releva la tête, et se la fit couper. Elle tomba, sombrant dans le brouillard. La première ombre des sept se hissa sur le mur et avança à pas feutrés, les autres sur les talons. Les nains furent vite éliminés, proprement et silencieusement.
*
Le Duc s’avança jusqu’au pont-levis. La brume, qui couvrait le domaine, l’empêchait de voir le haut des murs. Mais il savait. L’absence de cris dans la nuit indiquait qu’ils avaient réussi. Il allait donc réussir. Il longea la route et s’arrêta à un mètre des douves. Sur son épaule reposait son marteau. Il portait une armure noircie, aux bords imperceptiblement dorés. Sa tête était à l’air libre, une brindille sauvage pendant à ses lèvres.
*
Les gardes voulurent lui parler, le questionner, l’accompagner, mais Behaine garda le silence. Il les laissa à leur poste d’un geste autoritaire et leur accorda un dernier signe de tête. Il sortit du fort et progressa jusqu’au mur sud. La haute porte de bois ferré se dressait maintenant face à lui. Il chercha dans la brume le poste de garde de la porte.
« Pas la peine. » Lança une voix, quelque par devant lui.
« Qui êtes vous ? »
« Ceux qui ouvrent la porte vers le destin. »
En avançant, le nain distingua des corps inertes sur le sol. Il se retourna, observa les ténèbres tout autour de lui. Son interlocuteur restait introuvable.
« Il est dehors n’est-ce pas ? »
« Il vous attend. »
« Ouvrez la porte. »
La porte s’ouvrit.
*
Le Duc vit la porte s’ouvrir, entraînant avec elle des remous dans le brouillard. Le pont levis s’écrasa juste devant lui. Behaine était là. Il n’était pas armuré, portait une petite hache traditionnelle. Le Duc le rejoignit. Ils s’arrêtèrent à deux mètres l’un de l’autre. Le silence dura quelques minutes.
« Ainsi je suis le prochain sur votre infinie liste ? »
« Exact. Un marchand de moins. Un allié des Extrémistes de moins. Un vivant de moins. Toi et toute ton armée, ton domaine, tes gens, ton expansion. Tu es un virus, tu sais ? Tu fais partie de
« Epargnez-moi vos sermons. Faites simplement ce pourquoi vous êtes venu. »
« A tes ordres. »
Le Duc leva son marteau à l’aide de ses deux mains, Behaine fléchit les jambes. Le marteau décrivit une rapide courbe avant d’écraser le bois du pont là ou le marchand s’était tenu une seconde plus tôt. Sa hache fendit l’air mais ne trouva pas de faille dans l’armure complète. Un coup de manche fusa, puis un contre, une feinte et une ruée de coups… Le combat s’intensifia, les deux camps s’essoufflèrent.
« Aujourd’hui, un autre surplus de ce monde m’a qualifié de Bras de Gaïa. Je trouve l’expression très jolie. Tu vas mourir du Bras de
« Vas te faire foutre. »
*
Behaine redoutait cependant que le Duc n’ait raison. Il ne s’était pas entraîné depuis des lunes et des lunes… Et n’était pas parti en conquête depuis au moins autant de temps. La guerre n’était plus pour lui qu’un brouhaha lointain. Mais il avait oublié qu’on n’y échappait pas sur Daifen. Cet enfoiré de fataliste le lui rappelait aujourd’hui.
Et s’il mourrait cette nuit ? C’est ainsi, tenta-t-il de se convaincre. Adieu tous.
*
Behaine enchaîna plusieurs coups rageurs. L’armure de son adversaire commençait à céder par endroits. Il se jeta à l’attaque et profita de la mauvaise posture du marteau pour contourner son axe et asséner plusieurs autres frappes dans le dos du Duc. Mais l’armure…
Et il n’y avait pas que cela. L’armure protégeait le nain, c’était une certitude, mais sans elle, Behaine n’était pas sûr de pouvoir gagner non plus. Le Duc accusait les coups comme s’il ne les sentait pas, et semblait s’en amuser. Au point de ralentir, de baisser sa garde, de laisser volontairement son ennemi le taillader de violents coups. Behaine savait que le Duc était capable de mieux. Il redoutait simplement le moment où cela arriverait.
*
Le Duc encaissa une nouvelle volée de coups. Cela faisait assez longtemps qu’il jouait, estima-t-il. Il para le coup suivant et se recula de deux pas.
« Un dernier mot ? »
« Fais ça proprement. »
Le Duc s’élança, son corps entier projeté en avant, en l’air, comme ralentit par la brume devenu plus intense. Le marteau se rapprocha rapidement, jusqu’à toucher la joue. L’impact ne fit presque aucun bruit.
3 juin 2008
MinosIV
Voici une intro que j'ai écrite hier soir pour un début de campagne 40k. Si ça peut en inspirer d'autres que moi, tant mieux =)
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Le satellite d’observation MinosIV décrivait son habituelle courbe décroissante, celle du cycle de fin de semaine. En contrebas, la surface de Kaltar se faisait peu à peu envahir par la lumière du premier soleil du système, les rayons se heurtant aux Monts du Centre, comme ralentis par une imposante et déterminée muraille naturelle. De l’autre côté, à l’ouest, la nuit durerait encore quelques heures.
L’agent Gremsh jeta un coup d’œil par-dessus sa tablette de données. Sur le tableau, devant lui, des centaines de voyants clignotaient selon un rythme anarchique que seuls les adeptes de la Machine ne pouvaient assimiler. Toute cette agitation lumineuse ne lui indiqua rien de particulièrement frappant, aussi revint-il à ses notes en desserrant sa ceinture.
De l’arrière de son crâne émergeait un long câble qui allait se perdre dans les nombreux branchements de la machine. Il disposait de deux bras supplémentaires, accolés dans son dos au niveau des omoplates, mais il les laissait la plupart du temps en veille. Il fêtait aujourd’hui ses deux cent vingt ans, comme l’indiquait une fonction secondaire de son calendrier interne. Cela n’impliquait rien. Gremsh n’était plus vraiment un humain. C’était avant tout et pour tout un serviteur du Culte de la Machine et de l’Empereur-Dieu.
Il soupira et lâcha la tablette qui alla dériver vers le haut de la capsule en tournant lentement sur elle-même. D’un ordre mental distrait, il fit pivoter le satellite et ouvra deux des six volets blindés. Les vitro-plasmas lui laissèrent la vue libre sur l’espace. Les astres, il était parmi eux. Mais quelque chose capta son attention : un épais nuage cosmique, quelque chose qu’aucun de ses détecteurs ni aucun capteurs extérieurs n’avait relevé. C’était quelque chose de stupéfiant, de magnifique et d’effrayant à la fois.
A cette distance, aucun homme ni aucune machine n’aurait pu identifier la chose, mais Gremsh n’aurait eu aucun mal à l’assimiler à une sorte de toile d’araignée. Comme un filet mobile, un filet se déplaçant vite.
S’étant autorisé quelques secondes de contemplation, l’adepte se calla à nouveau au fond de son antique fauteuil et resserra ses liens. Ses deux bras additionnels s’activèrent d’un battement de cil, tandis que ses deux autres, les normaux, bien que soudés à d’impressionnants gants de fer fins, entamaient leur danse autour des innombrables commandes de bord.
« Occulo-serviteur Gremsh, code 04762 pour Kaltar, deuxième phase du cycle décroissant. Lancement d’une analyse à longue portée. Ouverture totale des volets. Philtres prêts. Démarrage des réacteurs tracteurs. Activation des sondes une et deux. S moins trois avant lancement, deux, un, lancement. Par le Trône d’or, quelle vitesse… Demande de communication avec Kaltar. »
Occupé par un certain nombre de manipulations, Gremsh mit plusieurs minutes à envoyer un signal stable et à pouvoir en recevoir un en retour. Les deux sondes s’écartaient désormais plus loin que le scanner ne pouvait les suivre.
« Ici centre beta, à MinosIV, répondez.
-Ici MinosIV, reçu. Je vous envoie les dernières analyses en urgence, code ouvert.
-Vous n’avez pas l’autori…
-Ouvrez le réseau, vermines de la surface, je n’ai que très peu de temps ! Ils sont presque sur moi !
-Qui ça ?
-Le réseau, par Terra ! Centre Beta ? Répondez, centre Beta ! »
Les voyants semblèrent s’agiter plus que de coutume. En voyant cela, Gremsh arrêta la transmission, qui de toute façon, et de manière toute à fait inexplicable ne marchait plus. La gigantesque toile d’araignée était en faite plus grande encore, s’étendait sur une surface folle, et fonçait plus vite que tout ce qu’avait pu voir le serviteur du Dieu-Machine dans sa longue vie, droit sur Kaltar.
« Inversion des réacteurs, fermeture des volets. Rapport des sondes - sondes perdues. Bon sang… Départ d’urgence pour la surface ! Puissance maximale – réacteurs en surchauffe – coque endommagée aux points quatre, huit et neuf ! Guide-moi… Guide mo… »
Le satellite fut brusquement balayé par une immense masse noire, reliée à d’autres par une sorte de filament laiteux, presque translucide. Gremsh eut le temps de prier quatre secondes de plus avant d’être soufflé par le passage d’une nouvelle forme énorme mais indistincte.
2 juin 2008
Les arbres
Et voilà, une petite fournée d'arbres miniatures.
Voilà donc ce que donne la technique précédemment expliquée. Le rendu et la taille sont suffisants pour le 6 ou le 10mm mais pour le 25, je pense que la méthode minend (visible ici) reste la meilleure, bien que assez difficile à mettre en place !
Voilà donc quelques photos de mes arbres.
29 mai 2008
Un essai pour les arbres maisons
Matériel nécéssaire :
-fil de fer (on peut en trouver à 2€ les 15mètres, pas la peine de prendre de la qualité)
-pince coupante (pour le fil de fer, des ciseaux peuvent peut-être suffire, selon la largeur du fil)
-pince (ou quoi que ce soit qui puisse tenir les fils quand on les manipule... Des doigts marchent aussi)
-résine verte (je n'avais que ça, c'est donc ce que j'ai utilisé. On recherchera ici un matériau qui puisse se modeler et qui durcira ensuite)
-du lichen (3 ou 4 € le sachet)
-colle (je n'avais que de la colle à bois, mais d'autres peuvent sûrement marcher)
Avec ça vous pouvez faire un gros nombre d'arbres, il n'y a plus qu'à s'y mettre.
1) Coupez un bout de fil de fer d'une longueur égale au double de la longueur voulue pour votre arbre. Pour un arbre de 5cm de haut : coupez 10cm. Recourbez le fil sur lui-même pour doubler son épaisseur.
2) Tenez-le du côté ouvert (sur la photo si-dessus, à droite) et tournée la boucle sur elle-même afin de faire du fil un tortillon. Ne le serrez pas trop, mais essayez d'aplatir un peu la boucle du bout pour pas qu'elle soit gênante pour la suite.
3) Redressez le tout. Prenez maintenant votre résine ou autre matériau modelable. Vous pouvez commencer à modeler l'armature du tronc, en commençant par la base. Prenez un morceau de résine et plantez-le du côté ouvert (là où il y les deux extrémités du fil, à l'opposé de la boucle). De cette façon, vous devez cacher les deux bouts de fil, puis essayer de suivre le fil enroulé avec la résine, mais pas trop haut. Dernier détail ; aplatissez votre bout de résine, une fois que les deux extrémités de fil sont plantées dedans, sur une surface plate, pour qu'à la fin vous puissez faire tenir votre arbre debout.
(cliquez pour agrandir)
4) Attendez bien que la base du tronc durcisse, selon la matière, cela peut prendre du temps. Ensuite, prenez votre colle et enduisez généreusement la partie du fil de fer visible que vous comptez recouvrir de lichen. Ce peut être tout le fil visible, ou une partie, ou juste la boucle du haut, à vous de jugez. Attention à ce que la colle ne coule pas trop.
5) Puis, assez rapidement, choisissez un bout de lichen qui vous convient, ou prenez en un gros que vous déchirez, puis collez-le au fil. Le plus pratique est de trouver un morceau de lichen dans lequel le fil peut passer. Ainsi, vous enfilez facilement le lichen sur le fil et il tiendra seul. Sinon, entourez simplement le fil de lichen et maintenez-le avec les doigts ou avec un autre support.
6) Après que le lichen soit solidement attaché (pareil, cela peut prendre du temps), attaquez-vous à la dernière étape : modeler le tronc qui est encore visible. Pour cela, utilisez votre résine et enroulez là autour du tronc, ensuite, servez-vous de vos doigts pour l'aplatir, l'arrondir etc...
Il ne vous reste plus qu'à peindre le tronc.
Je mettrais d'autres photos en ligne quand j'aurais le rendu final de plusieurs arbres finis.
Les maisons "fait maison"
Les murs sont en carton plume. Le toit est composé de feuilles de carton fines et dessus (pour les tuiles) j'ai utilisé l'intérieur de paquet de prince de lu (c). Une fois coupés en lamelles pas trop larges, on les superpose et ça donne un bon rendu pour les tuiles après un brossage à sec efficace.
Voilà. 'Me reste plus qu'à éviter de me gourer d'échelle et à trouver une idée pour les fenêtres...
25 mai 2008
Diorama amateur
24 mai 2008
Au commencement était la passion
Premiers pas dans le blogisme en même temps que dans le jeu d'histoire.
J'en profite pour afficher les toutes premières figurines achetées dans ce domaine.
Il s'agit d'un petit groupe de Landwehr Prussiens. (la peinture n'est pas encore terminée, les socles non plus)
J'ai choisi le 6mm car cette échelle m'attire, les petits soldats ne sont-ils pas superbes quand ils sont... petits ? J'ai appris que la Boutique Descartes du 17e arrondissement n'allait plus s'approvisionner en figurines 6mm, il faut donc que je me dépêche de leur en prendre avant que le stock ne disparaisse (à 2,5€ le sachet, c'est pas comme si ça me ruinait). D'ailleurs, si quelqu'un sait où je pourrais me procurer du 6mm époque napoléonienne ou autre, ce serait sympa de m'envoyer un mail. Des Hussars et de l'artillerie suivront sous peu.